Mardi 14 septembre 2021
En cette belle Fête de la Croix Glorieuse, les paroles de Jésus prennent un sens renouvelé : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. » Tel est le coeur de notre foi et de notre vie de chrétien. La mort elle-même fait partie de l’existence, mais elle n’a pas le dernier mot. La souffrance non plus ne l’emporte pas sur la joie. Seigneur, toi qui est Père, fais que dans l’épreuve, la maladie et le deuil, mon regard et mon coeur ne cessent de se tourner vers toi.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
Chapitre 9, versets 30 à 37
En ce temps-là, Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas qu’on le sache, car il enseignait ses disciples en leur disant : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. » Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l’interroger. Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur demanda : « De quoi discutiez-vous en chemin ? » Ils se taisaient, car, en chemin, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand. S’étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit : « Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le dernier de tous et le serviteur de tous. » Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d’eux, l’embrassa, et leur dit : « Quiconque accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c’est moi qu’il accueille. Et celui qui m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille, mais Celui qui m’a envoyé. » AELF