Lundi 20 janvier
Evangile du jour : Mc 2,18-22
Aujourd’hui, nous sommes le lundi 20 janvier. Toute cette semaine, du 18 au 25 janvier, nous prions pour l’unité des chrétiens. Idéalement, cette intention pourrait marquer ma journée. Jésus n’a-t-il pas dit, à la veille de sa Passion, combien notre unité lui était précieuse ?
Unis à tous mes frères et sœurs chrétiens, je me présente devant Dieu, au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Bénissez le Seigneur” par le collectif Cieux ouverts.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 2 de l’évangile de Marc
En ce temps-là, comme les disciples de Jean le Baptiste et les pharisiens jeûnaient, on vint demander à Jésus : « Pourquoi, alors que les disciples de Jean et les disciples des Pharisiens jeûnent, tes disciples ne jeûnent-ils pas ? » Jésus leur dit : « Les invités de la noce pourraient-ils jeûner, pendant que l’Époux est avec eux ? Tant qu’ils ont l’Époux avec eux, ils ne peuvent pas jeûner. Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, ce jour-là, ils jeûneront. Personne ne raccommode un vieux vêtement avec une pièce d’étoffe neuve ; autrement le morceau neuf ajouté tire sur le vieux tissu et la déchirure s’agrandit. Ou encore, personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; car alors, le vin fera éclater les outres, et l’on perd à la fois le vin et les outres. À vin nouveau, outres neuves. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. « Les invités de la noce pourraient-ils jeûner ? » Jésus applique à son sujet l’image biblique de l’Époux et de la noce. En sa personne, Dieu fait définitivement alliance avec l’humanité. Si nous comprenions cela, dit-il, nous serions dans la joie. Ma prière peut donc commencer ainsi : je regarde Jésus, je contemple en lui l’Alliance qui s’opère entre Dieu et l’humanité, et j’appelle sur moi la joie.
2. « Viendra le jour où l’Époux leur sera enlevé. » À quoi Jésus fait-il allusion ? Parle-t-il du jour d’aujourd’hui, où la présence de Dieu se fait si discrète ? À quel « jeûne » nous appelle-t-il alors, pour que la joie revienne ? Je prie là-dessus. À quel « jeûne », à quelle discipline, à quelle conversion suis-je appelé pour aider à la joie du monde, à sa joie évangélique ?
3. « À vin nouveau, outres neuves. » Voilà maintenant un proverbe, qui semble plaire à Jésus. Je considère cette image explosive : le vin nouveau fait éclater les vieilles outres. N’est-ce pas ce que nous promet l’évangile, qu’il viendra à bout de ce qui, dans nos vies, est vieux, installé, racorni ?… Je pense à quelques saints qui ont changé le monde. J’appelle sur moi cette ardeur évangélique, la joie du « vin nouveau ».
Nous écoutons une deuxième fois le texte.
Après avoir médité sur l’Ecriture, je prends le temps de dialoguer intérieurement avec le Seigneur. Je lui parle tout simplement, dans un cœur à cœur.
Nous pouvons conclure avec une prière pour l’unité des chrétiens. Celle-ci fut composée par le P. Paul Couturier, un prêtre de Lyon qui, dans les années 1930, fut à l’origine de la semaine de Prière pour l’unité des chrétiens.
Seigneur Jésus, qui à la veille de mourir pour nous, as prié pour que tous tes disciples soient parfaitement un, comme toi en ton Père et ton Père en toi, fais-nous ressentir douloureusement l'infidélité de notre désunion.
Donne-nous la loyauté de reconnaître et le courage de rejeter ce qui se cache en nous d'indifférence, de méfiance et même d'hostilité mutuelle.
Accorde-nous de nous rencontrer tous en toi afin que de nos âmes et de nos lèvres monte incessamment ta prière pour l'unité des chrétiens telle que tu la veux, par les moyens que tu veux.
En toi qui es la charité parfaite, fais-nous trouver la voie qui conduit à l'unité dans l'obéissance à ton amour et à ta vérité. Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Unis à tous mes frères et sœurs chrétiens, je me présente devant Dieu, au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Bénissez le Seigneur” par le collectif Cieux ouverts.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 2 de l’évangile de Marc
En ce temps-là, comme les disciples de Jean le Baptiste et les pharisiens jeûnaient, on vint demander à Jésus : « Pourquoi, alors que les disciples de Jean et les disciples des Pharisiens jeûnent, tes disciples ne jeûnent-ils pas ? » Jésus leur dit : « Les invités de la noce pourraient-ils jeûner, pendant que l’Époux est avec eux ? Tant qu’ils ont l’Époux avec eux, ils ne peuvent pas jeûner. Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, ce jour-là, ils jeûneront. Personne ne raccommode un vieux vêtement avec une pièce d’étoffe neuve ; autrement le morceau neuf ajouté tire sur le vieux tissu et la déchirure s’agrandit. Ou encore, personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; car alors, le vin fera éclater les outres, et l’on perd à la fois le vin et les outres. À vin nouveau, outres neuves. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. « Les invités de la noce pourraient-ils jeûner ? » Jésus applique à son sujet l’image biblique de l’Époux et de la noce. En sa personne, Dieu fait définitivement alliance avec l’humanité. Si nous comprenions cela, dit-il, nous serions dans la joie. Ma prière peut donc commencer ainsi : je regarde Jésus, je contemple en lui l’Alliance qui s’opère entre Dieu et l’humanité, et j’appelle sur moi la joie.
2. « Viendra le jour où l’Époux leur sera enlevé. » À quoi Jésus fait-il allusion ? Parle-t-il du jour d’aujourd’hui, où la présence de Dieu se fait si discrète ? À quel « jeûne » nous appelle-t-il alors, pour que la joie revienne ? Je prie là-dessus. À quel « jeûne », à quelle discipline, à quelle conversion suis-je appelé pour aider à la joie du monde, à sa joie évangélique ?
3. « À vin nouveau, outres neuves. » Voilà maintenant un proverbe, qui semble plaire à Jésus. Je considère cette image explosive : le vin nouveau fait éclater les vieilles outres. N’est-ce pas ce que nous promet l’évangile, qu’il viendra à bout de ce qui, dans nos vies, est vieux, installé, racorni ?… Je pense à quelques saints qui ont changé le monde. J’appelle sur moi cette ardeur évangélique, la joie du « vin nouveau ».
Nous écoutons une deuxième fois le texte.
Après avoir médité sur l’Ecriture, je prends le temps de dialoguer intérieurement avec le Seigneur. Je lui parle tout simplement, dans un cœur à cœur.
Nous pouvons conclure avec une prière pour l’unité des chrétiens. Celle-ci fut composée par le P. Paul Couturier, un prêtre de Lyon qui, dans les années 1930, fut à l’origine de la semaine de Prière pour l’unité des chrétiens.
Seigneur Jésus, qui à la veille de mourir pour nous, as prié pour que tous tes disciples soient parfaitement un, comme toi en ton Père et ton Père en toi, fais-nous ressentir douloureusement l'infidélité de notre désunion.
Donne-nous la loyauté de reconnaître et le courage de rejeter ce qui se cache en nous d'indifférence, de méfiance et même d'hostilité mutuelle.
Accorde-nous de nous rencontrer tous en toi afin que de nos âmes et de nos lèvres monte incessamment ta prière pour l'unité des chrétiens telle que tu la veux, par les moyens que tu veux.
En toi qui es la charité parfaite, fais-nous trouver la voie qui conduit à l'unité dans l'obéissance à ton amour et à ta vérité. Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Musiques
Bénissez le seigneur de Collectif cieux ouverts interprété par Collectif cieux ouverts
«Abba père» © Creative Commons Youtube Audio Library Voir les conditions d'utilisation
Letting go de Keri Newdigate interprété par Keri Newdigate
«Still Waters» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
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