Vendredi 14 novembre
Lecture du jour : Sg 13, 1-9
Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 14 novembre.
Je respire profondément pour me rendre présent à Celui avec qui j’ai un rendez-vous particulier ici et maintenant. Ouvre-moi, Seigneur, à ta présence. Avec la Sagesse, donne-moi la grâce de te reconnaître à travers ta création. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Le nom de Jésus” par le groupe Antydot.
1. Que ton nom est majestueux
Seigneur, sur toute la terre !
Ton nom est fort et puissant
Ton nom est glorieux et grand,
En lui nous sommes sauvés
R/ Le nom de Jésus plus haut que tous les noms
Roi des rois, aucun nom n’est comme le sien
Le nom de Jésus plus haut que les autres noms
Alpha et Omega, aucun nom n’est comme le sien
Aucun autre nom n’est comme le sien,
Aucun autre nom n’est comme le sien
2. Ton nom est comme un doux parfum
Déversé sur mon âme, sur mon âme
En ton nom nous supportons tout
En ton nom nous avons la victoire
PONT : Aucun autre dieu n'a vaincu la mort
Que Jésus-Christ le ressuscité !
Nous l'élevons plus haut
En son nom tout genou fléchit
En son nom tout homme est sauvé
Nous invoquons son nom ! Jésus !
Tu peux invoquer son nom, Jésus !
dans toutes les situations Jésus !
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 13 du livre de la Sagesse.
De nature, ils sont inconsistants, tous ces gens qui restent dans l’ignorance de Dieu : à partir de ce qu’ils voient de bon, ils n’ont pas été capables de connaître Celui qui est ; en examinant ses œuvres, ils n’ont pas reconnu l’Artisan. Mais c’est le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles, la violence des flots, les luminaires du ciel gouvernant le cours du monde, qu’ils ont regardés comme des dieux. S’ils les ont pris pour des dieux, sous le charme de leur beauté, ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur, car l’Auteur même de la beauté est leur créateur. Et si c’est leur puissance et leur efficacité qui les ont frappés, ils doivent comprendre, à partir de ces choses, combien est plus puissant Celui qui les a faites. Car à travers la grandeur et la beauté des créatures, on peut contempler, par analogie, leur Auteur. Et pourtant, ces hommes ne méritent qu’un blâme léger ; car c’est peut-être en cherchant Dieu et voulant le trouver, qu’ils se sont égarés : plongés au milieu de ses œuvres, ils poursuivent leur recherche et se laissent prendre aux apparences : ce qui s’offre à leurs yeux est si beau ! Encore une fois, ils n’ont pas d’excuse. S’ils ont poussé la science à un degré tel qu’ils sont capables d’avoir une idée sur le cours éternel des choses, comment n’ont-ils pas découvert plus vite Celui qui en est le Maître ?
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. La Parole de Dieu est ici une hymne au Dieu Créateur. Si je le peux, je mets en éveil mes sens dans le lieu où je me trouve. Sinon, je réfléchis en moi. Qu’est-ce qui, dans la création, est pour moi reflet du Créateur ? Comment cette contemplation me tourne-t-elle vers le Créateur ?
2.« Ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur… combien est plus puissant Celui qui les a faites » Qu’est-ce que la beauté des œuvres me dit de l’Artisan ? Si je peux, je fais mémoire d’une expérience où j’ai entre-aperçu la grandeur de Dieu. Quels mots me viennent à l’esprit pour décrire cette expérience ?
3. La Sagesse parle de celui qui a les yeux fixés sur les choses elles-mêmes et ne fait pas remonter son regard vers Dieu. Or, il ne faut pas faire de confusion : c’est le Créateur que nous adorons, non la création. Qu’est-ce qui peut m’empêcher de faire ce mouvement ? Qu’est-ce qui m’aveugle ? Qu’est-ce que je prends pour des dieux ?
Je réécoute attentivement ce passage, je goûte cette sagesse.
En rassemblant ce qui m’est venu dans ma méditation, je m’adresse maintenant directement au Créateur, maître de toutes choses.
Et je reprends les mots que Jésus nous a enseignés :
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Je respire profondément pour me rendre présent à Celui avec qui j’ai un rendez-vous particulier ici et maintenant. Ouvre-moi, Seigneur, à ta présence. Avec la Sagesse, donne-moi la grâce de te reconnaître à travers ta création. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Le nom de Jésus” par le groupe Antydot.
1. Que ton nom est majestueux
Seigneur, sur toute la terre !
Ton nom est fort et puissant
Ton nom est glorieux et grand,
En lui nous sommes sauvés
R/ Le nom de Jésus plus haut que tous les noms
Roi des rois, aucun nom n’est comme le sien
Le nom de Jésus plus haut que les autres noms
Alpha et Omega, aucun nom n’est comme le sien
Aucun autre nom n’est comme le sien,
Aucun autre nom n’est comme le sien
2. Ton nom est comme un doux parfum
Déversé sur mon âme, sur mon âme
En ton nom nous supportons tout
En ton nom nous avons la victoire
PONT : Aucun autre dieu n'a vaincu la mort
Que Jésus-Christ le ressuscité !
Nous l'élevons plus haut
En son nom tout genou fléchit
En son nom tout homme est sauvé
Nous invoquons son nom ! Jésus !
Tu peux invoquer son nom, Jésus !
dans toutes les situations Jésus !
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 13 du livre de la Sagesse.
De nature, ils sont inconsistants, tous ces gens qui restent dans l’ignorance de Dieu : à partir de ce qu’ils voient de bon, ils n’ont pas été capables de connaître Celui qui est ; en examinant ses œuvres, ils n’ont pas reconnu l’Artisan. Mais c’est le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles, la violence des flots, les luminaires du ciel gouvernant le cours du monde, qu’ils ont regardés comme des dieux. S’ils les ont pris pour des dieux, sous le charme de leur beauté, ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur, car l’Auteur même de la beauté est leur créateur. Et si c’est leur puissance et leur efficacité qui les ont frappés, ils doivent comprendre, à partir de ces choses, combien est plus puissant Celui qui les a faites. Car à travers la grandeur et la beauté des créatures, on peut contempler, par analogie, leur Auteur. Et pourtant, ces hommes ne méritent qu’un blâme léger ; car c’est peut-être en cherchant Dieu et voulant le trouver, qu’ils se sont égarés : plongés au milieu de ses œuvres, ils poursuivent leur recherche et se laissent prendre aux apparences : ce qui s’offre à leurs yeux est si beau ! Encore une fois, ils n’ont pas d’excuse. S’ils ont poussé la science à un degré tel qu’ils sont capables d’avoir une idée sur le cours éternel des choses, comment n’ont-ils pas découvert plus vite Celui qui en est le Maître ?
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. La Parole de Dieu est ici une hymne au Dieu Créateur. Si je le peux, je mets en éveil mes sens dans le lieu où je me trouve. Sinon, je réfléchis en moi. Qu’est-ce qui, dans la création, est pour moi reflet du Créateur ? Comment cette contemplation me tourne-t-elle vers le Créateur ?
2.« Ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur… combien est plus puissant Celui qui les a faites » Qu’est-ce que la beauté des œuvres me dit de l’Artisan ? Si je peux, je fais mémoire d’une expérience où j’ai entre-aperçu la grandeur de Dieu. Quels mots me viennent à l’esprit pour décrire cette expérience ?
3. La Sagesse parle de celui qui a les yeux fixés sur les choses elles-mêmes et ne fait pas remonter son regard vers Dieu. Or, il ne faut pas faire de confusion : c’est le Créateur que nous adorons, non la création. Qu’est-ce qui peut m’empêcher de faire ce mouvement ? Qu’est-ce qui m’aveugle ? Qu’est-ce que je prends pour des dieux ?
Je réécoute attentivement ce passage, je goûte cette sagesse.
En rassemblant ce qui m’est venu dans ma méditation, je m’adresse maintenant directement au Créateur, maître de toutes choses.
Et je reprends les mots que Jésus nous a enseignés :
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Musiques
Le nom de Jésus - Sinach de Antydot interprété par Antydot
«Pas d'album» © Creative Commons Youtube Audio Library Voir les conditions d'utilisation
In my weakness you are strong de Joseph Nimoh interprété par Joseph Nimoh
«Reflections» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
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