Jeudi 13 novembre
Lecture du jour : Sg 7, 22 – 8, 1
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 13 novembre.
Je m’assure d’être bien installé, afin de vivre ce moment avec disponibilité. Je respire, je pense à cette rencontre avec le Seigneur que je vais vivre. Quand je sens qu’il y a de la place en moi, j’accueille le Christ qui frappe à la porte de mon cœur. Je peux faire un geste pour signifier que je m’ouvre à sa présence. Seigneur, donne-moi de t’écouter pour te connaître et t’aimer davantage. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant” O glasdom light”, un chant de l’abbaye de Valaam, interprété par le Holy Cross Monastery Choir.
O Gladsome Light of the Holy Glory of the Immortal Father, Heavenly, Holy, Blessed Jesus Christ!
Now that we have come to the setting of the sun and see the light of evening, we praise God Father, Son and Holy Spirit.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 7 du livre de la Sagesse.
Il y a dans la Sagesse un esprit intelligent et saint, unique et multiple, subtil et rapide ; perçant, net, clair et intact ; ami du bien, vif, irrésistible, bienfaisant, ami des hommes ; ferme, sûr et paisible, tout-puissant et observant tout, pénétrant tous les esprits, même les plus intelligents, les plus purs, les plus subtils. La Sagesse, en effet, se meut d’un mouvement qui surpasse tous les autres ; elle traverse et pénètre toute chose à cause de sa pureté. Car elle est la respiration de la puissance de Dieu, l’émanation toute pure de la gloire du Souverain de l’univers ; aussi rien de souillé ne peut l’atteindre. Elle est le rayonnement de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l’activité de Dieu, l’image de sa bonté. Comme elle est unique, elle peut tout ; et sans sortir d’elle-même, elle renouvelle l’univers. D’âge en âge, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu. Car Dieu n’aime que celui qui vit avec la Sagesse. Elle est plus belle que le soleil, elle surpasse toutes les constellations ; si on la compare à la lumière du jour, on la trouve bien supérieure, car le jour s’efface devant la nuit, mais contre la Sagesse le mal ne peut rien. Elle déploie sa vigueur d’un bout du monde à l’autre, elle gouverne l’univers avec bonté.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Le livre de la Sagesse est écrit dans un style poétique. Les mots, les rythmes dégagent à la fois quelque chose de paisible et une force, une puissance. Je laisse résonner en moi quelques-uns de ces mots : « subtil… perçant… ami du bien… vif… paisible ». Quels sentiments montent en moi ?
2. A travers la Sagesse, c’est de Dieu que parle l’auteur. En quoi cet éloge rejoint-il ce que je connais de Dieu ? A quels autres textes, peut-être des épisodes de la vie de Jésus, me fait-il penser ? Qu’est-ce que j’entends aujourd’hui comme une nouveauté ?
3. Cette Sagesse n’est pas statique, elle est en mouvement. Elle « traverse », elle « déploie sa vigueur », elle est respiration et rayonnement. Je laisse monter en moi des expériences ou des personnes porteuses de cette vie, de cette lumière, qui m’ont fait avancer à un moment.
Je réécoute ce passage pour goûter plus profondément un mot ou une dynamique.
Avec tout ce qui m’habite à la fin de cette méditation, je m’adresse au Seigneur comme à un ami. Il est la Sagesse incarnée, il peut me guider. Je peux lui confier ce dont j’ai besoin, lui faire une demande.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Je m’assure d’être bien installé, afin de vivre ce moment avec disponibilité. Je respire, je pense à cette rencontre avec le Seigneur que je vais vivre. Quand je sens qu’il y a de la place en moi, j’accueille le Christ qui frappe à la porte de mon cœur. Je peux faire un geste pour signifier que je m’ouvre à sa présence. Seigneur, donne-moi de t’écouter pour te connaître et t’aimer davantage. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant” O glasdom light”, un chant de l’abbaye de Valaam, interprété par le Holy Cross Monastery Choir.
O Gladsome Light of the Holy Glory of the Immortal Father, Heavenly, Holy, Blessed Jesus Christ!
Now that we have come to the setting of the sun and see the light of evening, we praise God Father, Son and Holy Spirit.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 7 du livre de la Sagesse.
Il y a dans la Sagesse un esprit intelligent et saint, unique et multiple, subtil et rapide ; perçant, net, clair et intact ; ami du bien, vif, irrésistible, bienfaisant, ami des hommes ; ferme, sûr et paisible, tout-puissant et observant tout, pénétrant tous les esprits, même les plus intelligents, les plus purs, les plus subtils. La Sagesse, en effet, se meut d’un mouvement qui surpasse tous les autres ; elle traverse et pénètre toute chose à cause de sa pureté. Car elle est la respiration de la puissance de Dieu, l’émanation toute pure de la gloire du Souverain de l’univers ; aussi rien de souillé ne peut l’atteindre. Elle est le rayonnement de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l’activité de Dieu, l’image de sa bonté. Comme elle est unique, elle peut tout ; et sans sortir d’elle-même, elle renouvelle l’univers. D’âge en âge, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu. Car Dieu n’aime que celui qui vit avec la Sagesse. Elle est plus belle que le soleil, elle surpasse toutes les constellations ; si on la compare à la lumière du jour, on la trouve bien supérieure, car le jour s’efface devant la nuit, mais contre la Sagesse le mal ne peut rien. Elle déploie sa vigueur d’un bout du monde à l’autre, elle gouverne l’univers avec bonté.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Le livre de la Sagesse est écrit dans un style poétique. Les mots, les rythmes dégagent à la fois quelque chose de paisible et une force, une puissance. Je laisse résonner en moi quelques-uns de ces mots : « subtil… perçant… ami du bien… vif… paisible ». Quels sentiments montent en moi ?
2. A travers la Sagesse, c’est de Dieu que parle l’auteur. En quoi cet éloge rejoint-il ce que je connais de Dieu ? A quels autres textes, peut-être des épisodes de la vie de Jésus, me fait-il penser ? Qu’est-ce que j’entends aujourd’hui comme une nouveauté ?
3. Cette Sagesse n’est pas statique, elle est en mouvement. Elle « traverse », elle « déploie sa vigueur », elle est respiration et rayonnement. Je laisse monter en moi des expériences ou des personnes porteuses de cette vie, de cette lumière, qui m’ont fait avancer à un moment.
Je réécoute ce passage pour goûter plus profondément un mot ou une dynamique.
Avec tout ce qui m’habite à la fin de cette méditation, je m’adresse au Seigneur comme à un ami. Il est la Sagesse incarnée, il peut me guider. Je peux lui confier ce dont j’ai besoin, lui faire une demande.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Musiques
Avec toi de Lully Sakaguchi interprété par Lully Sakaguchi
«Méditations au piano» © ADF-Bayard Musique Voir le site de ADF-Bayard Musique
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