Lundi 06 décembre 2021
Les foules viennent se faire baptiser par Jean. Il s’agit d’un baptême de conversion. C’est une façon pour les juifs de l’époque d’être purifiés de leurs fautes afin de se repentir et de rechoisir Dieu. Le baptême que j’ai reçu est un peu différent. Mais il n’est ni un aboutissement ni une assurance vie. Il est le début de quelque chose de nouveau, un nouveau départ. A la suite du baptême et du pardon que Dieu m’offre, je peux lui demander dans ma prière : « Maintenant que je me retourne vers toi, Seigneur, que dois-je faire ? Qu’attends-tu de moi ? »
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
Chapitre 3, versets 10 à 18
«En ce temps-là, les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? » Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu’il partage avec celui qui n’en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu’il fasse de même ! » Des publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) vinrent aussi pour être baptisés ; ils lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « N’exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. » Des soldats lui demandèrent à leur tour : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites violence à personne, n’accusez personne à tort ; et contentez-vous de votre solde. » Or le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ. Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera au feu qui ne s’éteint pas. » Par beaucoup d’autres exhortations encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle. © AELF