Jeudi 23 octobre
Psaume du jour : Ps 1, 1-2, 3, 4.6
Aujourd'hui, nous sommes le jeudi 23 octobre et nous fêtons saint Jean de Capistran, un italien du début du 15ème siècle. Jeune juriste renommé, il fut fait prisonnier pendant la guerre de Naples. Ce temps lui permit de réfléchir aux biens du monde : après avoir vendu ses biens, il entra chez les Franciscains et prêcha dans toute l’Europe. Il est le patron des aumôniers militaires.
Me voici Seigneur avec tout ce que je suis. Je dépose devant toi ce qui m’habite, je prends le temps de faire silence. Je demande au Seigneur la grâce de m’enraciner pour me ressourcer à la source de sa vie. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Dieu seul suffit”, interprété par les Padrés.
Nous écoutons le psaume numéro 1.
Heureux est l’homme
qui n’entre pas au conseil des méchants,
qui ne suit pas le chemin des pécheurs,
ne siège pas avec ceux qui ricanent,
mais se plaît dans la loi du Seigneur
et murmure sa loi jour et nuit !
Il est comme un arbre
planté près d’un ruisseau,
qui donne du fruit en son temps,
et jamais son feuillage ne meurt ;
tout ce qu’il entreprend réussira.
Tel n’est pas le sort des méchants.
Mais ils sont comme la paille
balayée par le vent.
Le Seigneur connaît le chemin des justes,
mais le chemin des méchants se perdra.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Par mon imagination, je m’installe au bord d’un cours d’eau ; je contemple les arbres qui le bordent et, derrière eux, un champ vient d’être moissonné. Je mets tous mes sens en éveil : je ferme les yeux et j’accueille ce que je vois, ce que je sens, ce que j’entends, ce qui vient me frôler, ce que je goûte, ce que je ressens…
2. Par mon imagination, je prends le temps de contempler un arbre : comment est son feuillage, ses fruits ? comment accueille-t-il le vent ? que me dit-il de la force qu’il tire de l’eau de la terre ? Avec lui, je m’enracine dans cette terre, qui se donne à tous.
3. Par mon imagination, je prends le temps de regarder les brins de paille que le vent disperse : que me disent-ils de leur légèreté, de leur instabilité ? Avec eux, je laisse partir tout ce qui m’encombre et m’empêche d’être heureux.
J’écoute une nouvelle fois ce psaume en étant attentif au chemin de vie auquel il m’invite.
Je présente au Seigneur ce qui a habité mon cœur, mon esprit, mon corps, et ce qui me rend heureux.
Âme du Christ, sanctifie-moi.
Corps du Christ, sauve-moi.
Sang du Christ, enivre-moi.
Eau du côté du Christ, lave-moi.
Passion du Christ, fortifie-moi.
Ô bon Jésus, exauce-moi.
Dans tes blessures, cache-moi.
Ne permets pas que je sois séparé de toi.
De l’ennemi perfide, défends-moi.
À l’heure de ma mort, appelle-moi.
Ordonne-moi de venir à toi,
pour qu’avec tes Saints je te loue, toi,
dans les siècles des siècles. Amen
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Me voici Seigneur avec tout ce que je suis. Je dépose devant toi ce qui m’habite, je prends le temps de faire silence. Je demande au Seigneur la grâce de m’enraciner pour me ressourcer à la source de sa vie. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Dieu seul suffit”, interprété par les Padrés.
Nous écoutons le psaume numéro 1.
Heureux est l’homme
qui n’entre pas au conseil des méchants,
qui ne suit pas le chemin des pécheurs,
ne siège pas avec ceux qui ricanent,
mais se plaît dans la loi du Seigneur
et murmure sa loi jour et nuit !
Il est comme un arbre
planté près d’un ruisseau,
qui donne du fruit en son temps,
et jamais son feuillage ne meurt ;
tout ce qu’il entreprend réussira.
Tel n’est pas le sort des méchants.
Mais ils sont comme la paille
balayée par le vent.
Le Seigneur connaît le chemin des justes,
mais le chemin des méchants se perdra.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Par mon imagination, je m’installe au bord d’un cours d’eau ; je contemple les arbres qui le bordent et, derrière eux, un champ vient d’être moissonné. Je mets tous mes sens en éveil : je ferme les yeux et j’accueille ce que je vois, ce que je sens, ce que j’entends, ce qui vient me frôler, ce que je goûte, ce que je ressens…
2. Par mon imagination, je prends le temps de contempler un arbre : comment est son feuillage, ses fruits ? comment accueille-t-il le vent ? que me dit-il de la force qu’il tire de l’eau de la terre ? Avec lui, je m’enracine dans cette terre, qui se donne à tous.
3. Par mon imagination, je prends le temps de regarder les brins de paille que le vent disperse : que me disent-ils de leur légèreté, de leur instabilité ? Avec eux, je laisse partir tout ce qui m’encombre et m’empêche d’être heureux.
J’écoute une nouvelle fois ce psaume en étant attentif au chemin de vie auquel il m’invite.
Je présente au Seigneur ce qui a habité mon cœur, mon esprit, mon corps, et ce qui me rend heureux.
Âme du Christ, sanctifie-moi.
Corps du Christ, sauve-moi.
Sang du Christ, enivre-moi.
Eau du côté du Christ, lave-moi.
Passion du Christ, fortifie-moi.
Ô bon Jésus, exauce-moi.
Dans tes blessures, cache-moi.
Ne permets pas que je sois séparé de toi.
De l’ennemi perfide, défends-moi.
À l’heure de ma mort, appelle-moi.
Ordonne-moi de venir à toi,
pour qu’avec tes Saints je te loue, toi,
dans les siècles des siècles. Amen
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Musiques
Dieu seul suffit de Fr Jean-Baptiste de Jonchay interprété par Chœur du Séminaire français de Rome
«Misericordia in aeternum» © Éditions JADE Voir le site des Éditions JADE
Breath of life de Cobb Bussinger interprété par Cobb Bussinger
«The Birth of a Dancing Star» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
:
: