Samedi 23 août
Evangile du jour : Mt 23, 1-12
Aujourd'hui, nous sommes le samedi 23 août et nous faisons mémoire de sainte Rose de Lima, une mystique péruvienne du 16ème siècle qui est la première sainte du nouveau monde. Elle nous relie à notre pape Léon dont une grande partie du ministère s’est déroulé au Pérou.
Seigneur Jésus, tu es venu dans notre monde, tu as revêtu notre humanité dans toute sa profondeur, sa faiblesse, comme sa beauté. Tu as guéri des malades. Tu as délivré les prisonniers. Donne-moi de croire qu’aujourd’hui encore, tu peux transformer le monde. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
En la fête de cette sainte péruvienne, sainte Rose de Lima, nous écoutons le chant “Si yo no tengo amor”, " Si moi je n’ai pas d’amour", en espagnol, de Veronica Sanfilippo et Jonatan Narvaez.
R/ Si yo no tengo amor,
yo nada soy, Señor.
Si yo no tengo amor,
yo nada soy, Señor.
1/ El amor es comprensivo, el amor es servicial,
el amor no tiene envidia, el amor no busca el mal.
2/ El amor nunca se irrita, el amor no es descortés,
el amor no es egoísta, el amor nunca es doblez.
3/ El amor disculpa todo, el amor es caridad,
no se alegra de lo injusto, sólo goza en la verdad.
4/ El amor disculpa todo, El amor todo lo cree
El amor todo lo espera, El amor es siempre fe
5/ Nuestra fe, nuestra esperanza, Frente a Dios terminarán
El amor es algo eterno, Nunca, Nunca Pasará
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 23 de l’Evangile selon saint Matthieu.
En ce temps-là, Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples, et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse. Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas. Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ; ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi. Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères. Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux. Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ. Le plus grand parmi vous sera votre serviteur. Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Je contemple les différents personnages nommés dans cette scène, la foule, les disciples, Jésus, les scribes et les pharisiens. Qu’est-il dit des uns et des autres ? Dans leurs gestes, leur manière de se comporter, leurs désirs. Quelle est ma place ? Qu’est-ce que je retiens pour moi aujourd’hui ?
2. « Vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner et vous êtes tous frères. » Comme croyant, nous mettre ensemble sous l’enseignement de Dieu et du Christ nous rend frères. Ai-je conscience de cela ? Quelles en sont ou pourraient en être les conséquences dans ma vie ?
3. Je revisite ma manière de me comporter dans mes lieux d’engagements, professionnels, ecclésiaux ou familiaux. Ai-je déjà été comme ces scribes et ces pharisiens, recherchant davantage les honneurs que la cohérence entre ma foi et mes actes ?
Pour cette deuxième écoute, je prends place dans la foule pour découvrir ce à quoi m’appelle Jésus.
Je me tourne vers Jésus en l’appelant maître, lui le Fils de Dieu. Je lui dis ce que j'ai découvert pendant ce temps de prière, ce vers quoi je me sens porté. Je lui en parle comme un ami parle à un ami, un serviteur à son maître.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Seigneur Jésus, tu es venu dans notre monde, tu as revêtu notre humanité dans toute sa profondeur, sa faiblesse, comme sa beauté. Tu as guéri des malades. Tu as délivré les prisonniers. Donne-moi de croire qu’aujourd’hui encore, tu peux transformer le monde. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
En la fête de cette sainte péruvienne, sainte Rose de Lima, nous écoutons le chant “Si yo no tengo amor”, " Si moi je n’ai pas d’amour", en espagnol, de Veronica Sanfilippo et Jonatan Narvaez.
R/ Si yo no tengo amor,
yo nada soy, Señor.
Si yo no tengo amor,
yo nada soy, Señor.
1/ El amor es comprensivo, el amor es servicial,
el amor no tiene envidia, el amor no busca el mal.
2/ El amor nunca se irrita, el amor no es descortés,
el amor no es egoísta, el amor nunca es doblez.
3/ El amor disculpa todo, el amor es caridad,
no se alegra de lo injusto, sólo goza en la verdad.
4/ El amor disculpa todo, El amor todo lo cree
El amor todo lo espera, El amor es siempre fe
5/ Nuestra fe, nuestra esperanza, Frente a Dios terminarán
El amor es algo eterno, Nunca, Nunca Pasará
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 23 de l’Evangile selon saint Matthieu.
En ce temps-là, Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples, et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse. Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas. Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ; ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi. Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères. Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux. Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ. Le plus grand parmi vous sera votre serviteur. Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Je contemple les différents personnages nommés dans cette scène, la foule, les disciples, Jésus, les scribes et les pharisiens. Qu’est-il dit des uns et des autres ? Dans leurs gestes, leur manière de se comporter, leurs désirs. Quelle est ma place ? Qu’est-ce que je retiens pour moi aujourd’hui ?
2. « Vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner et vous êtes tous frères. » Comme croyant, nous mettre ensemble sous l’enseignement de Dieu et du Christ nous rend frères. Ai-je conscience de cela ? Quelles en sont ou pourraient en être les conséquences dans ma vie ?
3. Je revisite ma manière de me comporter dans mes lieux d’engagements, professionnels, ecclésiaux ou familiaux. Ai-je déjà été comme ces scribes et ces pharisiens, recherchant davantage les honneurs que la cohérence entre ma foi et mes actes ?
Pour cette deuxième écoute, je prends place dans la foule pour découvrir ce à quoi m’appelle Jésus.
Je me tourne vers Jésus en l’appelant maître, lui le Fils de Dieu. Je lui dis ce que j'ai découvert pendant ce temps de prière, ce vers quoi je me sens porté. Je lui en parle comme un ami parle à un ami, un serviteur à son maître.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Musiques
Oculi mei de Margaret Rizza interprété par The Gaudete Ensemble; Eamon Dougan
«Water and Sky» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
Si yo no tengo amor de Veronica Sanfilippo interprété par Veronica Sanfilippo et Jonatan Narvaez.
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