Vendredi 22 novembre
Lecture du jour (Ap 10, 8-11)
Aujourd'hui nous sommes le vendredi 22 novembre, et nous fêtons sainte Cécile.
Cette jeune romaine, mariée par la volonté de ses parents, fit découvrir la foi chrétienne à son mari. Lui comme elle furent condamnés à mort lors des persécutions contre les chrétiens. Sa légende raconte qu’elle aurait entendu la musique de Dieu en allant au martyre. Elle est la sainte patronne des musiciens.
Avec tous les chrétiens que la fidélité à ta parole a conduits plus loin que la peur, je me présente devant toi Seigneur. Donne-moi de t’écouter et de me laisser façonner par toi. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “A l’Agneau”, chanté par Exo.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 10 du livre de l’Apocalypse.
Moi, Jean, la voix que j’avais entendue, venant du ciel, me parla de nouveau et me dit : « Va prendre le livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre. » Je m’avançai vers l’ange pour lui demander de me donner le petit livre. Il me dit : « Prends, et dévore-le ; il remplira tes entrailles d’amertume, mais dans ta bouche il sera doux comme le miel. » Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je le dévorai. Dans ma bouche il était doux comme le miel, mais, quand je l’eus mangé, il remplit mes entrailles d’amertume. Alors on me dit : « Il te faut de nouveau prophétiser sur un grand nombre de peuples, de nations, de langues et de rois. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Je peux visualiser l’ange qui présente le livre, et se tient « debout sur la mer et sur la terre”. Dans l’évangile de Saint Luc, Jésus disait : « le ciel et la terre passeront, mes paroles, elles, ne passeront pas. » Dieu vient me rejoindre par sa parole, plus solide que tout ce qui m’entoure. Je laisse jouer en moi ces images.
2. Douceur et amertume accompagnent la parole de Dieu. Cette parole vient rejoindre en nous les lieux les plus douloureux, pour que la vie puisse en surgir à nouveau. Quelles paroles de l’Ecriture m’accompagnent ? Quels lieux en moi ont été rejoints par le Seigneur ? Quels lieux ont encore besoin d’être visités par sa parole ?
3. « Il te faut de nouveau prophétiser ». Le prophète est souvent celui qui voudrait plutôt se taire. En cette fête de sainte Cécile, je peux penser à des paroles vraies et courageuses, dites ou entendues, comme nées d’une vérité intérieure. Et peut-être, à des paroles que je sens devoir dire, malgré mes résistances.
J’écoute une deuxième fois le passage, en songeant à quelle profondeur la parole de Dieu veut nous rejoindre.
Je prends le temps de parler librement à Dieu, avec confiance, à partir de ce que cette prière a éveillé en moi.
Notre Père qui es aux cieux, que ton Nom soit sanctifié,
que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.
Car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire
pour les siècles des siècles.Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, amen
Cette jeune romaine, mariée par la volonté de ses parents, fit découvrir la foi chrétienne à son mari. Lui comme elle furent condamnés à mort lors des persécutions contre les chrétiens. Sa légende raconte qu’elle aurait entendu la musique de Dieu en allant au martyre. Elle est la sainte patronne des musiciens.
Avec tous les chrétiens que la fidélité à ta parole a conduits plus loin que la peur, je me présente devant toi Seigneur. Donne-moi de t’écouter et de me laisser façonner par toi. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “A l’Agneau”, chanté par Exo.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 10 du livre de l’Apocalypse.
Moi, Jean, la voix que j’avais entendue, venant du ciel, me parla de nouveau et me dit : « Va prendre le livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre. » Je m’avançai vers l’ange pour lui demander de me donner le petit livre. Il me dit : « Prends, et dévore-le ; il remplira tes entrailles d’amertume, mais dans ta bouche il sera doux comme le miel. » Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je le dévorai. Dans ma bouche il était doux comme le miel, mais, quand je l’eus mangé, il remplit mes entrailles d’amertume. Alors on me dit : « Il te faut de nouveau prophétiser sur un grand nombre de peuples, de nations, de langues et de rois. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Je peux visualiser l’ange qui présente le livre, et se tient « debout sur la mer et sur la terre”. Dans l’évangile de Saint Luc, Jésus disait : « le ciel et la terre passeront, mes paroles, elles, ne passeront pas. » Dieu vient me rejoindre par sa parole, plus solide que tout ce qui m’entoure. Je laisse jouer en moi ces images.
2. Douceur et amertume accompagnent la parole de Dieu. Cette parole vient rejoindre en nous les lieux les plus douloureux, pour que la vie puisse en surgir à nouveau. Quelles paroles de l’Ecriture m’accompagnent ? Quels lieux en moi ont été rejoints par le Seigneur ? Quels lieux ont encore besoin d’être visités par sa parole ?
3. « Il te faut de nouveau prophétiser ». Le prophète est souvent celui qui voudrait plutôt se taire. En cette fête de sainte Cécile, je peux penser à des paroles vraies et courageuses, dites ou entendues, comme nées d’une vérité intérieure. Et peut-être, à des paroles que je sens devoir dire, malgré mes résistances.
J’écoute une deuxième fois le passage, en songeant à quelle profondeur la parole de Dieu veut nous rejoindre.
Je prends le temps de parler librement à Dieu, avec confiance, à partir de ce que cette prière a éveillé en moi.
Notre Père qui es aux cieux, que ton Nom soit sanctifié,
que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.
Car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire
pour les siècles des siècles.Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, amen
Musiques
A l'agneau de Exo interprété par Exo
«Eclats - 5» © Exo louange Voir le site de Exo
Seigneur, je t'appartiens de G. Du Boullay interprété par Communauté de l'Émmanuel
«Musiques pour prier n° 5: Symphonie pour Dieu» © Éditions de l'Émmanuel Voir le site des Éditions de l'Emmanuel
:
: