Mardi 08 avril
Lecture du jour : Nb 21, 4 - 9
Aujourd'hui nous sommes le mardi 8 avril de la 5ème semaine de Carême.
Le texte médité nous invite à regarder l’homme qui chemine dans le désert: c’est aride, inconfortable et long. Je me dispose à ce temps de prière en prenant conscience de toute mon humanité en ce chemin de Carême. Sa longueur, sa sécheresse, ou sa fécondité, ce qui fait le poids de ces 40 jours au désert. Et je trace sur moi un signe de croix : Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit.
Nous écoutons le chant “Dans le désert”, interprété par la Communauté du Chemin Neuf.
1. Dans le désert, je cherche ta Face.
Dans le désert, ton pain me nourrit.
Je ne crains pas d’avancer sur ta trace.
C’est pour ma soif que ton eau vive jaillit !
R/ Promis à Toi dans la justice,
Promis à toi dans l’amour,
Dans la fidélité,
Comme je suis connu, je connaîtrai !
2. Dans le désert, j’entends ta Parole.
Dans le désert, loin de la rumeur.
Le souvenir de ta Loi me console.
Ô Dieu caché, tu veux parler à mon cœur !
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 21 du livre des Nombres.
En ces jours-là, les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne par la route de la mer des Roseaux en contournant le pays d’Édom. Mais en chemin, le peuple perdit courage. Il récrimina contre Dieu et contre Moïse : « Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ? Était-ce pour nous faire mourir dans le désert, où il n’y a ni pain ni eau ? Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! » Alors le Seigneur envoya contre le peuple des serpents à la morsure brûlante, et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël. Le peuple vint vers Moïse et dit : « Nous avons péché, en récriminant contre le Seigneur et contre toi. Intercède auprès du Seigneur pour qu’il éloigne de nous les serpents. » Moïse intercéda pour le peuple, et le Seigneur dit à Moïse : « Fais-toi un serpent brûlant, et dresse-le au sommet d’un mât : tous ceux qui auront été mordus, qu’ils le regardent, alors ils vivront ! » Moïse fit un serpent de bronze et le dressa au sommet du mât. Quand un homme était mordu par un serpent, et qu’il regardait vers le serpent de bronze, il restait en vie !
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. « En chemin le peuple perdit le courage » je fais mémoire de mon chemin de Carême, Quelles ont été mes rencontres, mes découvertes heureuses ? Je rends grâce au Seigneur pour sa présence sur ce chemin. Quelles sont les pierres qui ont barré ma route, m’ont fait chuter, m’ont fait perdre confiance, en moi, en mes frères, en Dieu ? Je confie mes faiblesses au Seigneur et lui demande sa force.
2. Je me laisse interpeller par la réaction du Seigneur devant la récrimination du peuple juif : la nourriture est misérable ! Sa sentence qui prend la forme de l’envoi de serpents mortels n’est-elle pas disproportionnée ? Comment la comprendre ? Et moi, ne suis-je pas encombré par des récriminations minimes ? Le Seigneur ne veut-il pas plus pour moi dans ce temps de conversion?
3. Le texte biblique nous propose de regarder la figure du serpent. Je fais mémoire des “serpents de la bible “ celui de la Genèse, le bâton d’Aaron qui se transforme en serpent devant pharaon, le serpent d'airain du texte des nombres : c’est un animal rusé dont la morsure est mortelle. Jésus en Matthieu 12, nous dit “Engeance de vipères ! comment pouvez-vous dire des paroles bonnes, vous qui êtes mauvais ? Car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur.“ Je médite cela.
En réécoutant ce texte, je suis attentive à tout ce qui amène le peuple à contempler le serpent d’airain pour avoir la vie.
En parlant à Jésus comme un ami se confie à un autre ami, je lui dis mon désir de transformer mon cœur afin d’aimer comme lui aime. Je le contemple en croix, lui qui par sa mort, me donne la vie. Je me laisse transformer par Lui, en silence.
Âme du Christ,
sanctifie-moi.
Corps du Christ,
sauve-moi.
Sang du Christ,
enivre-moi.
Eau du côté du Christ, lave-moi.
Passion du Christ, fortifie-moi.
Ô bon Jésus, exauce-moi.
Dans tes blessures, cache-moi.
Ne permets pas que je sois séparé de toi.
De l’ennemi perfide, défends-moi.
À l’heure de ma mort, appelle-moi. Ordonne-moi de venir à toi, pour qu’avec tes Saints je te loue, toi, dans les siècles des siècles. Amen
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen
Le texte médité nous invite à regarder l’homme qui chemine dans le désert: c’est aride, inconfortable et long. Je me dispose à ce temps de prière en prenant conscience de toute mon humanité en ce chemin de Carême. Sa longueur, sa sécheresse, ou sa fécondité, ce qui fait le poids de ces 40 jours au désert. Et je trace sur moi un signe de croix : Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit.
Nous écoutons le chant “Dans le désert”, interprété par la Communauté du Chemin Neuf.
1. Dans le désert, je cherche ta Face.
Dans le désert, ton pain me nourrit.
Je ne crains pas d’avancer sur ta trace.
C’est pour ma soif que ton eau vive jaillit !
R/ Promis à Toi dans la justice,
Promis à toi dans l’amour,
Dans la fidélité,
Comme je suis connu, je connaîtrai !
2. Dans le désert, j’entends ta Parole.
Dans le désert, loin de la rumeur.
Le souvenir de ta Loi me console.
Ô Dieu caché, tu veux parler à mon cœur !
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 21 du livre des Nombres.
En ces jours-là, les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne par la route de la mer des Roseaux en contournant le pays d’Édom. Mais en chemin, le peuple perdit courage. Il récrimina contre Dieu et contre Moïse : « Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ? Était-ce pour nous faire mourir dans le désert, où il n’y a ni pain ni eau ? Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! » Alors le Seigneur envoya contre le peuple des serpents à la morsure brûlante, et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël. Le peuple vint vers Moïse et dit : « Nous avons péché, en récriminant contre le Seigneur et contre toi. Intercède auprès du Seigneur pour qu’il éloigne de nous les serpents. » Moïse intercéda pour le peuple, et le Seigneur dit à Moïse : « Fais-toi un serpent brûlant, et dresse-le au sommet d’un mât : tous ceux qui auront été mordus, qu’ils le regardent, alors ils vivront ! » Moïse fit un serpent de bronze et le dressa au sommet du mât. Quand un homme était mordu par un serpent, et qu’il regardait vers le serpent de bronze, il restait en vie !
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. « En chemin le peuple perdit le courage » je fais mémoire de mon chemin de Carême, Quelles ont été mes rencontres, mes découvertes heureuses ? Je rends grâce au Seigneur pour sa présence sur ce chemin. Quelles sont les pierres qui ont barré ma route, m’ont fait chuter, m’ont fait perdre confiance, en moi, en mes frères, en Dieu ? Je confie mes faiblesses au Seigneur et lui demande sa force.
2. Je me laisse interpeller par la réaction du Seigneur devant la récrimination du peuple juif : la nourriture est misérable ! Sa sentence qui prend la forme de l’envoi de serpents mortels n’est-elle pas disproportionnée ? Comment la comprendre ? Et moi, ne suis-je pas encombré par des récriminations minimes ? Le Seigneur ne veut-il pas plus pour moi dans ce temps de conversion?
3. Le texte biblique nous propose de regarder la figure du serpent. Je fais mémoire des “serpents de la bible “ celui de la Genèse, le bâton d’Aaron qui se transforme en serpent devant pharaon, le serpent d'airain du texte des nombres : c’est un animal rusé dont la morsure est mortelle. Jésus en Matthieu 12, nous dit “Engeance de vipères ! comment pouvez-vous dire des paroles bonnes, vous qui êtes mauvais ? Car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur.“ Je médite cela.
En réécoutant ce texte, je suis attentive à tout ce qui amène le peuple à contempler le serpent d’airain pour avoir la vie.
En parlant à Jésus comme un ami se confie à un autre ami, je lui dis mon désir de transformer mon cœur afin d’aimer comme lui aime. Je le contemple en croix, lui qui par sa mort, me donne la vie. Je me laisse transformer par Lui, en silence.
Âme du Christ,
sanctifie-moi.
Corps du Christ,
sauve-moi.
Sang du Christ,
enivre-moi.
Eau du côté du Christ, lave-moi.
Passion du Christ, fortifie-moi.
Ô bon Jésus, exauce-moi.
Dans tes blessures, cache-moi.
Ne permets pas que je sois séparé de toi.
De l’ennemi perfide, défends-moi.
À l’heure de ma mort, appelle-moi. Ordonne-moi de venir à toi, pour qu’avec tes Saints je te loue, toi, dans les siècles des siècles. Amen
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen
Musiques
Dans le désert de Chemin Neuf interprété par Chemin Neuf
«Tu es mon Dieu » © Communauté du Chemin Neuf voir le site de la Communauté du Chemin Neuf
Peace de Scott Lamlein interprété par Scott Lamlein
«Peace» © Scott Lamlein Voir le site de Scott Lamlein
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