Mardi 07 janvier
Lecture du jour : 1 Jn 4, 7-10
Aujourd'hui, nous sommes le mardi 7 janvier, dans l’octave de l'Épiphanie.
Au seuil de cette prière, je prends le temps de me mettre en présence du Seigneur. Si je le peux, j'allume une bougie ou me retire dans le secret. Quoi qu'il en soit, j'entre dans le silence intérieur. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Il s’est manifesté” interprété par la communauté de l’Emmanuel.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 4 de la première épître de St Jean.
Bien-aimés,
aimons-nous les uns les autres,
puisque l’amour vient de Dieu.
Celui qui aime est né de Dieu
et connaît Dieu.
Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu,
car Dieu est amour.
Voici comment l’amour de Dieu
s’est manifesté parmi nous :
Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde
pour que nous vivions par lui.
Voici en quoi consiste l’amour :
ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu,
c’est lui qui nous a aimés,
et il a envoyé son Fils
en sacrifice de pardon pour nos péchés.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Un mot résume à lui seul l’enseignement de ce jour : amour. Dieu est amour. L’amour vient de Dieu. Aimons-nous les uns les autres. Notre religion est une religion d’amour car Dieu est amour. Je prends la mesure de ce don inouï, de ce cadeau mais aussi de cette exigence : une vie en Dieu est une vie dans l’amour. Je médite cela.
2. « Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu ». Aller à la messe le dimanche, faire abstinence le vendredi, faire la charité. Tout cela est bon mais ne vaut rien si nous n’essayons pas de vivre d’un amour pour Dieu et pour notre prochain. Qu’en est-il de moi ? Quand suis-je charitable ? A qui s’attache mon amour ? Je m’interroge.
3. « Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés ». L’amour de Dieu est premier. Il nous précède. En ce sens, il est inconditionnel puisque, avant même que nous n’existions, Dieu nous aimait de toute éternité. A qui pourrais-je annoncer cette Bonne Nouvelle ? Est-ce que j'y crois-je vraiment ?
Agir par amour. Voilà ce qui anima et anime encore Dieu aujourd’hui. Voilà ce à quoi nous sommes appelés. Ayant cela à l'esprit, j’écoute à nouveau la lecture qui m’est proposée aujourd’hui.
Alors que cette prière se termine, je profite du temps qu’il me reste pour m’entretenir librement avec le Seigneur. En toute confiance. Dans l’amour.
Enfin, dans cette même confiance, je termine en disant le « Notre-Père » :
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, amen.
Au seuil de cette prière, je prends le temps de me mettre en présence du Seigneur. Si je le peux, j'allume une bougie ou me retire dans le secret. Quoi qu'il en soit, j'entre dans le silence intérieur. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Il s’est manifesté” interprété par la communauté de l’Emmanuel.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 4 de la première épître de St Jean.
Bien-aimés,
aimons-nous les uns les autres,
puisque l’amour vient de Dieu.
Celui qui aime est né de Dieu
et connaît Dieu.
Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu,
car Dieu est amour.
Voici comment l’amour de Dieu
s’est manifesté parmi nous :
Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde
pour que nous vivions par lui.
Voici en quoi consiste l’amour :
ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu,
c’est lui qui nous a aimés,
et il a envoyé son Fils
en sacrifice de pardon pour nos péchés.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Un mot résume à lui seul l’enseignement de ce jour : amour. Dieu est amour. L’amour vient de Dieu. Aimons-nous les uns les autres. Notre religion est une religion d’amour car Dieu est amour. Je prends la mesure de ce don inouï, de ce cadeau mais aussi de cette exigence : une vie en Dieu est une vie dans l’amour. Je médite cela.
2. « Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu ». Aller à la messe le dimanche, faire abstinence le vendredi, faire la charité. Tout cela est bon mais ne vaut rien si nous n’essayons pas de vivre d’un amour pour Dieu et pour notre prochain. Qu’en est-il de moi ? Quand suis-je charitable ? A qui s’attache mon amour ? Je m’interroge.
3. « Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés ». L’amour de Dieu est premier. Il nous précède. En ce sens, il est inconditionnel puisque, avant même que nous n’existions, Dieu nous aimait de toute éternité. A qui pourrais-je annoncer cette Bonne Nouvelle ? Est-ce que j'y crois-je vraiment ?
Agir par amour. Voilà ce qui anima et anime encore Dieu aujourd’hui. Voilà ce à quoi nous sommes appelés. Ayant cela à l'esprit, j’écoute à nouveau la lecture qui m’est proposée aujourd’hui.
Alors que cette prière se termine, je profite du temps qu’il me reste pour m’entretenir librement avec le Seigneur. En toute confiance. Dans l’amour.
Enfin, dans cette même confiance, je termine en disant le « Notre-Père » :
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, amen.
Musiques
Il s'est manifesté de Communauté de l'Emmanuel interprété par Communauté de l'Emmanuel
«Il a changé nos vies» © Éditions de l'Émmanuel Voir le site des Éditions de l'Emmanuel
:
: