Dimanche 18 mai
Lecture du jour : Ap 21, 1-5a
Aujourd'hui nous sommes le 18 mai, 5ème dimanche du Temps Pascal.
Seigneur, me voici devant toi, pour me mettre à l'écoute de ta parole, comme on vient boire à une source d'eau fraîche. Que ta parole vienne combler mon âme. Au nom du Père et du Fils, et du Saint Esprit, amen.
Les séminaristes de la maison sainte Thérèse à Bruxelles chantent Grandes et merveilleuses. Avec ce chant je peux demander la grâce de voir la beauté des œuvres de Dieu dans ma vie. Oui, vraiment, Dieu fait toutes choses nouvelles.
Grandes et merveilleuses, tes oeuvres, Seigneur
Maître de tout
Tes voies sont justes et droites
O roi des nations
R/ Qui ne craindrais ton Nom
Qui ne te glorifierait Seigneur
Car toi seul est saint
Des passants viendront pour t'adorer Seigneur
Maitre de tout
Car de justes jugements sont manifestés
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 21 du livre de l'Apocalypse.
Moi, Jean, j’ai vu un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre s’en étaient allés et, de mer, il n’y en a plus. Et la Ville sainte, la Jérusalem nouvelle, je l’ai vue qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, prête pour les noces, comme une épouse parée pour son mari.
Et j’entendis une voix forte qui venait du Trône. Elle disait :
« Voici la demeure de Dieu avec les hommes ; il demeurera avec eux, et ils seront ses peuples, et lui-même, Dieu avec eux, sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur : ce qui était en premier s’en est allé. » Alors celui qui siégeait sur le Trône déclara : « Voici que je fais toutes choses nouvelles. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. L'Apocalypse a cette expression étrange : "de mer, il n'y en a plus". C'est parce que la mer, dans la culture juive, est symbole de la mort. En ce temps pascal, je me redis avec gratitude la bonne nouvelle de la Résurrection. Oui, la mort a été vaincue. Mon espérance repose sur Jésus ressuscité, vivant.
2. La voix dit : "voici que je fais toutes choses nouvelles." Dieu promet une nouveauté radicale dans la relation des hommes avec lui, entre eux, avec la création toute entière. Et moi, qu'est-ce que j'espère avec le plus de force de cette nouveauté ? Pourrais-je déjà en vivre quelque chose aujourd'hui, dans ma vie ?
3. Le texte de l'Apocalypse promet enfin que Dieu essuiera les larmes de nos yeux. Je confie au Seigneur telle ou telle personne qui a vécu une expérience éprouvante récemment. Moi-même peut-être. Je lui demande d'être proche, de faire sentir son amour et sa douceur.
Je me laisse à nouveau inspirer par cette vision, je laisse ces images me parler.
Je prends maintenant un temps de prière personnelle, tout tourné vers mon Dieu. Je lui dis, avec confiance, ce que m'a inspiré la méditation, ce que je porte en moi maintenant. Mes joies, mes espérances, mes doutes.
Prends Seigneur, et reçois toute ma liberté, ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté.
Tout ce que j’ai et tout ce que je possède.
C’est toi qui m’as tout donné, à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en selon ton entière volonté.
Donne-moi seulement de t’aimer et donne-moi ta grâce, elle seule me suffit.
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen
Seigneur, me voici devant toi, pour me mettre à l'écoute de ta parole, comme on vient boire à une source d'eau fraîche. Que ta parole vienne combler mon âme. Au nom du Père et du Fils, et du Saint Esprit, amen.
Les séminaristes de la maison sainte Thérèse à Bruxelles chantent Grandes et merveilleuses. Avec ce chant je peux demander la grâce de voir la beauté des œuvres de Dieu dans ma vie. Oui, vraiment, Dieu fait toutes choses nouvelles.
Grandes et merveilleuses, tes oeuvres, Seigneur
Maître de tout
Tes voies sont justes et droites
O roi des nations
R/ Qui ne craindrais ton Nom
Qui ne te glorifierait Seigneur
Car toi seul est saint
Des passants viendront pour t'adorer Seigneur
Maitre de tout
Car de justes jugements sont manifestés
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 21 du livre de l'Apocalypse.
Moi, Jean, j’ai vu un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre s’en étaient allés et, de mer, il n’y en a plus. Et la Ville sainte, la Jérusalem nouvelle, je l’ai vue qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, prête pour les noces, comme une épouse parée pour son mari.
Et j’entendis une voix forte qui venait du Trône. Elle disait :
« Voici la demeure de Dieu avec les hommes ; il demeurera avec eux, et ils seront ses peuples, et lui-même, Dieu avec eux, sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur : ce qui était en premier s’en est allé. » Alors celui qui siégeait sur le Trône déclara : « Voici que je fais toutes choses nouvelles. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. L'Apocalypse a cette expression étrange : "de mer, il n'y en a plus". C'est parce que la mer, dans la culture juive, est symbole de la mort. En ce temps pascal, je me redis avec gratitude la bonne nouvelle de la Résurrection. Oui, la mort a été vaincue. Mon espérance repose sur Jésus ressuscité, vivant.
2. La voix dit : "voici que je fais toutes choses nouvelles." Dieu promet une nouveauté radicale dans la relation des hommes avec lui, entre eux, avec la création toute entière. Et moi, qu'est-ce que j'espère avec le plus de force de cette nouveauté ? Pourrais-je déjà en vivre quelque chose aujourd'hui, dans ma vie ?
3. Le texte de l'Apocalypse promet enfin que Dieu essuiera les larmes de nos yeux. Je confie au Seigneur telle ou telle personne qui a vécu une expérience éprouvante récemment. Moi-même peut-être. Je lui demande d'être proche, de faire sentir son amour et sa douceur.
Je me laisse à nouveau inspirer par cette vision, je laisse ces images me parler.
Je prends maintenant un temps de prière personnelle, tout tourné vers mon Dieu. Je lui dis, avec confiance, ce que m'a inspiré la méditation, ce que je porte en moi maintenant. Mes joies, mes espérances, mes doutes.
Prends Seigneur, et reçois toute ma liberté, ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté.
Tout ce que j’ai et tout ce que je possède.
C’est toi qui m’as tout donné, à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en selon ton entière volonté.
Donne-moi seulement de t’aimer et donne-moi ta grâce, elle seule me suffit.
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen
Musiques
Grandes et merveilleuses de Chœur des Séminaristes de la Maison Sainte Thérèse interprété par Chœur des Séminaristes de la Maison Sainte Thérèse
«Car il n'est qu'amour» © Éditions JADE Voir le site des Éditions JADE
Sarabande Adagio de Sylvius Leopold Weiss interprété par Mauricio Buraglia
«Les Plaintes de Psyche» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
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