Mercredi 16 avril
Lecture du jour : Is 50, 4 – 9a
Aujourd’hui nous sommes le mercredi 16 avril, mercredi de la Semaine Sainte.
Nous allons marcher avec Jésus vers sa Passion, accompagnés par la prophétie d’Isaïe. Ce texte nous permet d’entrer dans l’expérience d’un homme persécuté pour sa fidélité à Dieu mais soutenu de l’intérieur par celui sur qui il s’appuie. Au seuil de cette prière, je demande à Dieu la grâce de me montrer où et comment il veut affermir mes pas au milieu des difficultés de la vie.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen.
Nous écoutons le chant “O feu, Esprit saint consolateur” par le groupe Hildegarde de Binden.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 50 du livre du prophète Isaïe.
Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute. Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi ! Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Celui qui parle dans ce texte se présente comme un disciple, quelqu’un qui écoute Dieu de tout son être. Son oreille intérieure s’ouvre chaque matin pour recevoir une parole qui le fait vivre. Quelle parole m’adresse Dieu personnellement, en cet instant, dans ce moment de silence ?
2. Celui qui parle dans ce texte subit des épreuves douloureuses mais il s’appuie sur sa confiance totale en Dieu. Il sait que Dieu prend sa défense, l’assure de sa proximité. Je me remémore un moment difficile où j’ai été portée par une force intérieure.
3. Ce texte se présente comme le témoignage d’une personne que son épreuve rend capable de soutenir des personnes épuisées, découragées. Quelles sont les figures d’humanité qui me donnent du courage par la manière dont elles ont traversé des difficultés ?
Pour la seconde écoute du texte, je me rends proche de Jésus pendant sa Passion et j’entre dans ses sentiments profonds.
Pour terminer cette prière, je présente au Seigneur une situation difficile où j’affronte de l’incompréhension, de l’adversité, voire peut-être de la violence. Qu’ai-je envie de lui dire de ce que je traverse, de ce que j’éprouve ? Je demeure en écoute, l’oreille ouverte, et en fixant les yeux sur Jésus qui a tenu bon jusqu’au bout.
Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire pour les siècles des siècles.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit
Nous allons marcher avec Jésus vers sa Passion, accompagnés par la prophétie d’Isaïe. Ce texte nous permet d’entrer dans l’expérience d’un homme persécuté pour sa fidélité à Dieu mais soutenu de l’intérieur par celui sur qui il s’appuie. Au seuil de cette prière, je demande à Dieu la grâce de me montrer où et comment il veut affermir mes pas au milieu des difficultés de la vie.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen.
Nous écoutons le chant “O feu, Esprit saint consolateur” par le groupe Hildegarde de Binden.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 50 du livre du prophète Isaïe.
Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute. Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi ! Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Celui qui parle dans ce texte se présente comme un disciple, quelqu’un qui écoute Dieu de tout son être. Son oreille intérieure s’ouvre chaque matin pour recevoir une parole qui le fait vivre. Quelle parole m’adresse Dieu personnellement, en cet instant, dans ce moment de silence ?
2. Celui qui parle dans ce texte subit des épreuves douloureuses mais il s’appuie sur sa confiance totale en Dieu. Il sait que Dieu prend sa défense, l’assure de sa proximité. Je me remémore un moment difficile où j’ai été portée par une force intérieure.
3. Ce texte se présente comme le témoignage d’une personne que son épreuve rend capable de soutenir des personnes épuisées, découragées. Quelles sont les figures d’humanité qui me donnent du courage par la manière dont elles ont traversé des difficultés ?
Pour la seconde écoute du texte, je me rends proche de Jésus pendant sa Passion et j’entre dans ses sentiments profonds.
Pour terminer cette prière, je présente au Seigneur une situation difficile où j’affronte de l’incompréhension, de l’adversité, voire peut-être de la violence. Qu’ai-je envie de lui dire de ce que je traverse, de ce que j’éprouve ? Je demeure en écoute, l’oreille ouverte, et en fixant les yeux sur Jésus qui a tenu bon jusqu’au bout.
Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire pour les siècles des siècles.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit
Musiques
Wait for the Lord de The community of Taizé interprété par
«Christmas Guitar» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes
Ô Feu du Saint-Esprit, Consolateur | O ignis Spiritus paracliti de Hildegarde de Binden interprété par Chœur de filles Saint-Stanislav du Gymnase classique diocésain
«Pas d'album» © Creative Commons Youtube Audio Library Voir les conditions d'utilisation
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