Lundi 03 mars
Lecture du jour : Si 17, 24-29
Aujourd'hui nous sommes le lundi 3 mars.
La semaine reprend et je me pose devant Toi Seigneur. Quelques instants rien que pour toi, à cœur ouvert. Ton regard bienveillant vient éclairer mon cœur et ma vie et m’invite à ouvrir un chemin de retournement, de retour vers Toi, Toi qui donnes vie. Viens Toi-même me donner ce désir d’entrer dans ce mouvement et dans ta miséricorde.
Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, Amen.
Laissons-nous surprendre par le chant des Guetteurs : “Là-Haut”.
R/ Là-haut, enfin, je ne porterai plus ma peine et mon chagrin
Là-haut, enfin, on pourra de nouveau s’aimer jusqu’au matin (bis)
Mon Dieu, pardonne les moments de doute
Lorsque mon cœur se ferme et que mon dos se voûte
J’aimerais que se déversent sur moi des pluies de grâces comme en Haïti au mois d’octobre
Devant la coupe de la colère, mon ami, il faut rester sobre
Je n’ouvre pas la bouche, ce sont mes yeux qui entonnent
Un chant de douleur si fort : les feuilles tombent comme à l’automne Et les sourds m’entendent
J’ai le sang si chaud, ce que je touche devient cendre
Petit tu sais les femmes elles ont leurs lois
Ne les défie pas ou gare à toi
La tristesse, la joie, on leur doit
Elles tiennent nos petits cœurs entre leurs doigts
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 17 du livre de Ben Sira le Sage.
À ceux qui se repentent, Dieu ouvre le chemin du retour ; il réconforte ceux qui manquent de persévérance. Convertis-toi au Seigneur, et renonce à tes péchés ; mets-toi devant lui pour prier, et diminue tes occasions de chute. Reviens vers le Très-Haut et détourne-toi de l’injustice ; les actions abominables, déteste-les. Qui pourra célébrer le Très-Haut dans le séjour des morts, remplacer les vivants qui lui rendent gloire ? La louange est enlevée au mort puisqu’il n’est plus ; c’est le vivant, le bien-portant, qui célébrera le Seigneur. Qu’elle est grande, la miséricorde du Seigneur, qu’il est grand, son pardon pour ceux qui se convertissent à lui !
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. “À ceux qui se repentent, Dieu ouvre le chemin du retour ; il réconforte ceux qui manquent de persévérance” dit le sage… Je pense à ma propre persévérance dans mes bonnes résolutions. Je demande à Dieu de venir à mon secours.
2. “Mets-toi devant [ le Seigneur] pour prier”, “reviens vers le Très-Haut” dit le sage… Et moi, qui est-ce-que je prie ? Devant qui est-ce-que je me présente? Je cherche en vérité à faire le point.
3. « Qu’elle est grande, la miséricorde du Seigneur, qu’il est grand, son pardon, pour ceux qui se convertissent à lui ». Je me laisse toucher par cette expérience du peuple de Dieu qui est conduit vers plus de vie et plus de justice… Je peux faire mémoire moi aussi de cette expérience dans ma vie, et si ce n’est pas le cas, je laisse résonner en moi ce que ces mots provoquent.
J’écoute à nouveau ces paroles d’encouragement en me situant parmi les vivants qui chantent la louange du Seigneur qui leur donne vie.
Sous son regard qui m’aime, je parle au Seigneur de ce que j’ai découvert durant ce temps de prière. Je le remercie, je lui demande pardon, je lui présente mes désirs, mes efforts, mes attentes pour cette semaine dans laquelle le Carême va commencer…
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen
La semaine reprend et je me pose devant Toi Seigneur. Quelques instants rien que pour toi, à cœur ouvert. Ton regard bienveillant vient éclairer mon cœur et ma vie et m’invite à ouvrir un chemin de retournement, de retour vers Toi, Toi qui donnes vie. Viens Toi-même me donner ce désir d’entrer dans ce mouvement et dans ta miséricorde.
Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, Amen.
Laissons-nous surprendre par le chant des Guetteurs : “Là-Haut”.
R/ Là-haut, enfin, je ne porterai plus ma peine et mon chagrin
Là-haut, enfin, on pourra de nouveau s’aimer jusqu’au matin (bis)
Mon Dieu, pardonne les moments de doute
Lorsque mon cœur se ferme et que mon dos se voûte
J’aimerais que se déversent sur moi des pluies de grâces comme en Haïti au mois d’octobre
Devant la coupe de la colère, mon ami, il faut rester sobre
Je n’ouvre pas la bouche, ce sont mes yeux qui entonnent
Un chant de douleur si fort : les feuilles tombent comme à l’automne Et les sourds m’entendent
J’ai le sang si chaud, ce que je touche devient cendre
Petit tu sais les femmes elles ont leurs lois
Ne les défie pas ou gare à toi
La tristesse, la joie, on leur doit
Elles tiennent nos petits cœurs entre leurs doigts
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 17 du livre de Ben Sira le Sage.
À ceux qui se repentent, Dieu ouvre le chemin du retour ; il réconforte ceux qui manquent de persévérance. Convertis-toi au Seigneur, et renonce à tes péchés ; mets-toi devant lui pour prier, et diminue tes occasions de chute. Reviens vers le Très-Haut et détourne-toi de l’injustice ; les actions abominables, déteste-les. Qui pourra célébrer le Très-Haut dans le séjour des morts, remplacer les vivants qui lui rendent gloire ? La louange est enlevée au mort puisqu’il n’est plus ; c’est le vivant, le bien-portant, qui célébrera le Seigneur. Qu’elle est grande, la miséricorde du Seigneur, qu’il est grand, son pardon pour ceux qui se convertissent à lui !
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. “À ceux qui se repentent, Dieu ouvre le chemin du retour ; il réconforte ceux qui manquent de persévérance” dit le sage… Je pense à ma propre persévérance dans mes bonnes résolutions. Je demande à Dieu de venir à mon secours.
2. “Mets-toi devant [ le Seigneur] pour prier”, “reviens vers le Très-Haut” dit le sage… Et moi, qui est-ce-que je prie ? Devant qui est-ce-que je me présente? Je cherche en vérité à faire le point.
3. « Qu’elle est grande, la miséricorde du Seigneur, qu’il est grand, son pardon, pour ceux qui se convertissent à lui ». Je me laisse toucher par cette expérience du peuple de Dieu qui est conduit vers plus de vie et plus de justice… Je peux faire mémoire moi aussi de cette expérience dans ma vie, et si ce n’est pas le cas, je laisse résonner en moi ce que ces mots provoquent.
J’écoute à nouveau ces paroles d’encouragement en me situant parmi les vivants qui chantent la louange du Seigneur qui leur donne vie.
Sous son regard qui m’aime, je parle au Seigneur de ce que j’ai découvert durant ce temps de prière. Je le remercie, je lui demande pardon, je lui présente mes désirs, mes efforts, mes attentes pour cette semaine dans laquelle le Carême va commencer…
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen
Musiques
Là-haut de Les Guetteurs interprété par Les Guetteurs
«Tempête» © Creative Commons Youtube Audio Library Voir les conditions d'utilisation
Jésus le Christ de interprété par Communauté de Taizé
«Taizé Instrumental (76 chants)» © Communauté de Taizé Voir le site de Taizé
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